Dans la nuit de jeudi 29 à vendredi 30 mai à toulouse, lors d’une intervention des keufs, trois humainEs se cachent dans une cave avec unE des chiennEs qu’elleux encourageaient à se battre quelques instants auparavant. Cellui-ci s’attaque alors aux humainEs, les mordant aux bras et aux jambes. C’est alors que la police défonça la porte de la cave et tira au flashball sur la chiennE, secourant les humainEs. BlesséE, la canidéE réussit à s’enfuir. Suivant les versions, on peut lire que 3 ou 4 chiennEs ont été embarquéEs et toutEs ne parlent pas de l’échappée. On pourrait supposer qu’ellui a été capturéE… mais on en a pas très envie

Le 2 juin, à stockholm, unE élan fait irruption dans une salle de classe en brisant un fenêtre. Grièvement blesséE et en panique, ellui donne des coups de tête pour sortir. Ellui est abattue sur place par la police

Sur le territoire sous domination de l’état du montana, le dimanche 1 juin, sans que les circonstances soient plus précisées, unE chasseureuse a reçu un message clair de la part d’une de ses proies, unE ours si on en croit les blessures. TransportéE à l’hôpital jusqu’à seattle, l’humainE s’en sortira peut-être

En territoire sous domination de l’état chinois, unE truie échappe à l’abattoir en sautant du camion en marche, faisant une chute de près de 5 mètres et s’en sortant sans blessure. Ellui avait grimpé sur le dos d’autres condamnéEs pour réussir son échappée. L’aventure aurait pu continuer si les flics n’étaient pas intervenuEs. Alors qu’on a plutôt l’habitude que ce genre d’histoire finisse en exécution, cette fois, les bouchèrEs uniforméEs se sont vouluEs bienveillantEs en adoptant la bête, lui donnant un nouveau nom d’esclave, la faisant survivre dans un enclos prévu pour leurs chiennEs-esclaves et rapportant fièrement la nourrir d’épluchures de pommes et de gland.

Après que les agentEs du zoo, dans leur soucis de « pureté génétique » des populations captives, aient séparé unE individuE d’une troupe de macaque, un groupe de celle-ci escalade hors de l’enclos et part à sa recherche. Les matonnEs érigent alors une puis deux clôtures électriques. Pour la première, unE des macaques réussit à neutraliser la clôture avec du feuillage humide. Pour neutraliser la deuxième, la même connecte les deux clôtures avec un brin d’herbe humide.

Pour garder le contrôle, les geôlièrEs ont décidé de déplacer les macaques dans un autre enclos, espérant qu’elleux finiront par oublier leur congénère.